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This magazine is about Haiti, World, Science and Political News, an extension of the Haïti Connexion Network. Multilingual and Transcaraibbean.
Wednesday, December 14, 2016
Le créole source de régression académique
Tuesday, December 13, 2016
HAITI: FAILED PRIVATE SECTOR, FAILED STATE!
In addition to profit-making, the private sector is morally obligated to create jobs. Without purchasing power, the potential customers won’t be able to consume and pay their bills. Hence, the consequences will be automatically disastrous even for those who own the means of production. Why? Because there is no consummation! -- Production will be hurt. No profit. This unbalanced equation is contrary to capitalism whose reality, among others, consists of employers making profits at the expense of employees’ labor. One may thusly summarize this reciprocal relationship: no jobs, no profits!
Haiti is a poor country, among others, with 41% unemployment rate, 48% illiteracy rate, and 60% of people living below the poverty line. At the same time, a hand full of 5 families control the entire wealth. I remember talking to an American professor about how many billionaires we have in Haiti. At the beginning, he started to laugh at me. The paradox is that we have several Haitian billionaires. The US government has tried on many occasions to stimulate the private sector in Haiti through many programs such as Food Conservation and Energy Act (HOPE) in 2006; Haitian Hemispheric Opportunity through Partnership Encouragement Act (HOPE II) (2008); in 2010, Haiti Lift Program (HELP). All of these initiatives have been put in place to stimulate foreign investment in Haiti, and to rally the private sector to redeem itself by profiting from those programs those open doors via “Eligibility for duty-free treatment “under the Caribbean Basin trade partnership Act (CBTPA)”. The main goal was to create jobs; the Haitian private sector didn’t seize the opportunity.
“The amalgamation of a failed private sector with kidnapping, drug trafficking, bad government constitutes the most important reason that explains Haiti’s failure in its quest to build a nation-state. Unfortunately, the United States government, symbol of nation building, is often on the wrong side of history in Haiti.”
Joel Leon
CNBC, Jeff Cox: “US private sector created 216.000 jobs in November…” November 30th
Democratic Policy and Communications Center (DPCC)www.Investopedia.com
International Trade Administration (ITA) – Haitian Hemispheric Opportunity through Partnership Encouragement Act 2006 HOPE I
Food conservation and energy Act of 2008, HOPE II
Haiti Lift Program Act 2010, HELP
Caribbean Basin Trade Partnership Act CBTPA
Center for Strategic and International Studies “The role of the Haitian Diaspora in building Haiti back better (June 24th, 2011)
Miami Herald “Cocaine Kingpin Jacques Ketant Back in Haiti”, Jacqueline Charles, August 18th, 2015
Haïti Express-News “ Haïti Mogul Drug Dealer, Jacques Ketant, Accueilli par Gracia Delva et Roro Nelson… » April 19th, 2015
Nouvelliste « Petro Caribe, Un Vaste Crime Économique », May 16th, 2016
Élection de Jovenel Moïse : Un K.-O. à la démocratie haïtienne
Roromme Chantal Professeur de science politique à l’École des hautes études publiques de l’Université de Moncton
Le pouvoir des nantis
Une myopie politique
Restaurer le rêve haïtien
Un pacte de gouvernabilité
Sunday, December 11, 2016
Les deux côtés de la médaille du régime Castro
Wednesday, November 30, 2016
L'élection de Jovenel Moïse, «une catastrophe» pour Haïti selon Frédéric Thomas
Le candidat à la présidentielle Jovenel Moise (G) lors d'une déclaration à la Presse après l'annonce des résultats partiels le 28 novembre 2016 par le Conseil Electoral Provisoire. |
Par Aude Massiot
Frédéric Thomas, spécialiste du pays, voit dans la victoire de ce PDG à la carrière opaque un retour en arrière pour les Haïtiens, avec une poursuite des mesures ultralibérales engagées par son prédécesseur et parrain, Michel Martelly.
Monday, November 21, 2016
Election américaine: avec qui Trump va-t-il gouverner?
Ces noms circulent déjà dans les médias américains. |
Le président élu a rencontré celui qui était l'un des chefs de file du mouvement "tout sauf Trump" l'été dernier, alimentant les spéculations sur l'arrivée du candidat républicain à la présidentielle de 2012 à la tête de la diplomatie américaine.
Monday, November 14, 2016
Obama on Trump victory: "Remember that we're actually all on one team"
President Obama speaking from the White House on November 9, 2016 |
President Obama on Wednesday emphasized the importance of a peaceful transition of power to Donald Trump and he attempted to reassure disappointed Americans that the most important priority is uniting the country.
Friday, November 11, 2016
Les Américains ont élu un Sweet Micky à la Maison Blanche, Est-ce que cela dérange?
Comme je l’avais annoncé hier, après la journée électorale du 8 Novembre, un président serait élu et le pays allait reprendre son cours dans le train-train quotidien. La victoire de Donald Trump est une démonstration de force de la suprématie blanche aux Etats-Unis. Donald Trump est un personnage atypique qui ne devrait pas représenter le parti républicain si l’on tenait compte des convenances sociales et des règles de la bienséance. Malheureusement, il a pu faire son entrée dans l’arène politique comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Il a tout bousillé pour remporter les présidentielles américaines et devenir le 45eme président américain. Les supporteurs d’Hillary Clinton ont beau pleurer hier soir face à la défaite de leur candidate. Ils apprendront à connaitre la douleur des autres. En effet, en 2010, Hillary Clinton en sa qualité de Secrétaire d’Etat américain avait imposé à Haïti un dévergondé. Et, récemment elle a avoué que c’était pour faire avancer les intérêts des Américains en Haïti. Nous savons que les Etats-Unis d’Amérique est un pays mosaïque où l’on rencontre toutes les nations sur terre. Donald Trump tout au long de sa campagne n’a pas cessé de vanter la suprématie blanche et de dire à haute voix qu’il est anti-immigrant. Il a invectivé les femmes. Son arrogance n’a pas de limite en fait. Les Américains ont fait le choix d’un président qui leur ressemble en essence. Nous savons que le racisme est bien vivant aux Etats-Unis d’Amérique. A travers Donald Trump, le peuple américain a rejeté en bloc tous les efforts consentis par l’Administration Obama durant ces huit dernières années. Le peuple américain a la mémoire courte. Nous souhaitons de tout cœur que l’apprentissage auquel Donald Trump sera soumis sera rapide et dynamique et qu’il pourra nous surprendre, car nous n’attendons rien de positif de ce type durant ces quatre prochaines années.
Donald Trump est en passe de diriger comme un chef suprême. Son parti contrôle la chambre de représentants ainsi que le Sénat. Donc, il peut faire ce qu’il veut comme bon lui semble. Est-ce que Donald Trump va diriger comme il a mené sa campagne ? C’est une question qui vaut son pesant d’or. Nous savons que le président américain est limité dans ses prises de position puisqu’il est contrôlé par un establishment. C’est un système déjà huilé qui détermine tout. Avant sa prestation de serment, Donald Trump prendra connaissance des multiples dossiers et déterminera s’il doit marcher sur les traces de son prédécesseur et s’il doit tout chambarder. Nous savons aussi que la politique étrangère américaine en essence ne changera pas. Avec Donald Trump, les Etats-Unis d’Amérique seront plus agressifs, surtout en Moyen-Orient. Les pays pauvres et appauvris comme Haïti ne peuvent espérer grand-chose de la présidence de Donald Trump. Les Américains d’origine haïtienne aux Etats-Unis ont pour devoir d’ouvrir un channel de communication avec la Maison Blanche pour faire du lobby sur certains dossiers comme le TPS qui arrive à expiration en Janvier 2017. A présent, ce sera un challenge pour la communauté noire et les minorités en général. Donald Trump ne nous fera aucun cadeau si nous nous ne battons pas. Nous avons suivi sa campagne électorale de près, nous connaissons son état d’esprit et celui de ses supporteurs. Nous devons nous préparer pour mener une guerre efficace pour tirer notre épingle du jeu.
La victoire de Donald Trump nous montre aussi à quel point la presse américaine est biaisée. Les sondages ont été manipulés pour nous vendre un Hillary Clinton qui n’avait pas vraiment d’ancrage au sein de la population. En Haïti, nous savons que les sondages de BRIDES sont concoctés afin de nous imposer Jovenel Moise qui est le candidat des élites répugnantes et malpropres. Souhaitons que le peuple haïtien se mette à la hauteur de sa tâche pour esquiver ce plan salamique. Donald Trump est élu président aux Etats-Unis d’Amérique et cela ne devrait pas nous déranger en Haïti. Le tourment du peuple haïtien perdurera pour la plus belle. Souhaitons que les élections du 20 Novembre n’engendrent pas une autre crise électorale. Les acteurs haïtiens doivent réaliser que durant les quatre années à venir, les Etats-Unis d’Amérique ne leur feront pas de cadeau. Ils doivent travailler eux-mêmes pour redresser la barre en Haïti. Plus que jamais, les politiciens de l’intérieur doivent travailler coude à coude avec des têtes pensantes de la diaspora pour vendre une image plus positive d’Haïti et entamer de sérieuses discussions qui faciliteraient le démarrage du pays. Somme toute, Donald Trump est un prototype de Sweet Micky qui sera très difficile à contrôler et qui donnera du fil à retordre au monde entier. Cela ne devrait pas nous déranger. Nous devons miser sur nos propres forces pour sortir Haïti de l’ornière du marasme. Je plains les Américains d’origine haïtienne qui ont voté pour Donald Trump sous le fallacieux prétexte qu’il va apporter la manne en Haïti. C’est mal connaitre les Américains et leur politique étrangère qui ne changera pas vis-à-vis d’Haïti qu’ils considèrent déjà et toujours comme leur cour-arrière. Que le grand architecte de l’univers protège les minorités aux Etats-Unis d’Amérique et aide les Haïtiens à reconnaitre qu’ils sont maîtres de leurs destins.
Kerlens Tilus 11/09/2016
Snel76_2000@yahoo.com
Thursday, November 3, 2016
Présidentielle américaine: Hillary Clinton et Donald Trump sont-ils vraiment au coude à coude?
A quatre jours de l'élection, la course semble se resserrer mais certains sondages font le grand-écart..
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Donald Trump face à Hillary Clinton lors du second débat présidentiel, le 9 octobre 2016. |
Donald Trump compte 5 % d’avance sur Clinton ! Ça, c’est selon le dernier sondage du LA Times/USC Tracking. Non, Hillary Clinton a une marge confortable de 7 %, jure celui de NBC News. Qui croire ? Ni l’un ni l’autre, tacle Sam Wang, expert data de l’université de Princeton. Selon lui, la seule manière scientifique d’analyser ces chiffres, c’est de considérer la moyenne, non pas des études nationales mais celle des sondages régionaux, Etat par Etat, qui correspond à la carte du collège électoral. Et d’après son modèle, qui avait réalisé un sans-faute sur les résultats de 2012 et de 2008, Hillary Clinton reste l’immense favorite, avec 97 % de chance de devenir la prochaine présidente des Etats-Unis.
La carte électorale toujours favorable à Clinton
Au final, on revient encore et toujours à la carte électorale. Les écarts sont tels que tout va se jouer dans les dix Etats les plus serrés. Là, la route de Trump vers une victoire est semée d’embûches et il devrait créer la surprise dans trois ou quatre Etats pour atteindre le chiffre magique de 270 grands électeurs. Selon le statisticien Nate Silver, c’est cependant loin d’être impossible. « Même si les sondages régionaux sont plutôt bons, il suffit que deux ou trois se trompent et Trump peut gagner », analyse-t-il sur le site FiveThirtyEight. Selon son modèle, le candidat républicain a désormais une chance sur trois de l’emporter.
« L’avenir de la république est entre vos mains »
Les deux candidats à la présidentielle américaine 2016 |