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Friday, March 13, 2020

Trudeau says government will warn against international travel and tighten border to stop spread of COVID-19

Prime minister's wife, Sophie Grégoire Trudeau, has tested positive for coronavirus

Prime Minister Justin Trudeau is speaking to Canadians about the spread of COVID-19. Earlier today he said the federal government is considering closing the border to some international travellers. 0:00

Prime Minister Justin Trudeau says the federal government will warn Canadians against all international travel and is considering tightening the border to some international travellers.

During an interview with Radio-Canada's Montreal morning show on Friday, Trudeau said the government is not closing the door to any idea and is assessing the situation on a day-to-day basis.

Asked if the government will close the Canadian border, Trudeau said: "We are in the midst of looking at this."

"We're in the midst of evaluating day-to-day what to do," he said. 

"As you've seen, there are recommendations not to travel outside of Canada. We're in the midst of co-ordinating with the Americans, obviously, on our borders, on our actions. We'll continue to evaluate what we can do and how we can keep Canadians in security and we won't close the door on any idea."

Federal ministers and health officials are providing an update on Canada's response at 11:30 a.m. ET. CBCNews.ca is carrying it live.

U.S. President Donald Trump announced Wednesday evening that the U.S. was banning travellers from most parts of Europe, the same day the World Health Organization declared the global outbreak a pandemic.

The State Department also issued a global health advisory cautioning U.S. citizens to "reconsider travel abroad" due to COVID-19.

There are now 160 presumed or confirmed cases of COVID-19 in Canada. Trudeau is in self-isolation at home because his wife, Sophie, has tested positive.

Trudeau also said the government is looking at a set of common national guidelines to limit the spread of the coronavirus across the country.

On CBC Radio's The Current, Trudeau said the government will make a recommendation to Canadians not to travel internationally right now. An announcement on that will likely come later today, he said.

Trudeau said the government is also considering income-support measures to ensure people aren't worried about money when concerned about their own health and the health of their loved ones.

"We're going to be putting in place measures to support people to make sure that they can make ends meet, that they can focus on their families while we're going through a very difficult time economically," he told host Matt Galloway.

Canada's Chief Public Health Officer Theresa Tam confirmed that Canada is now advising against all international travel to limit the spread of the virus. She warned that travellers could be subject to another country's travel or quarantine restrictions, and if they become sick, could be in a health care system that is inferior to Canada's system.

On the border, Trudeau said steps that have been taken to date have "worked quite well" in limiting the number of cases; additional measures may now be required.


Friday, August 4, 2017

Les réfugiés du TPS: présence solidaire du Canada


Les réfugiés du TPS, en majorité des Haïtiens, qui ont investi la frontière américano-canadienne, en quête d’asile dans le pays voisin, sont favorablement recus à Montréal , dans plusieurs sites d’hébergement. Le maire de cette ville francophone du Québec, M. Denis Coderre, n’a pas mâché ses mots sur les réseaux sociaux pour dénoncer les «menaces à peine voilées du locataire de la Maison Blanche», à l’encontre de ces nombreux réfugiés, arrivés par centaines sur l’ile de Montréal.

Famille en visite aux réfugiés
Plusieurs sites d’hébergement gérés par le Centre des réfugiés PRAIDA-YMCA, étant pleins à craquer, rapporte le porte-parole de la Régie des installations olympiques, M. Cédric Essiminy (photo ci-dessus), l’administration du Stade a ouvert ses portes à un premier groupe de 150 réfugiés, en attendant d’atteindre le nombre de 400, en rapport avec la capacité de l’espace prévu à cet effet. Toute la coordination de cette opération est assurée par la Croix Rouge Canadienne et le Centre intégré universitaire de santé et des services sociaux du Centre-Sud de l’Ile de Montréal. Selon le président national du Syndicat des douanes et de l’immigration canadienne, M. Jean-Pierre Fortin, pour la seule journée du mardi 1er août 2017, environ 500 réfugiés ont été répertoriés et accueillis à la frontière de Lacolle. Dans une déclaration faite au journal Métro de Montréal, il dit ne pas être surpris que le Stade olympique soit converti en centre de réfugiés.

Contrairement à d’autres pays, le Canada traite honorablement les réfugiés qui frappent à sa porte, car s’adressant à Harold Isaac de Radio-Télé Quisqueya et moi du Quotidien Le National , le porte-parole de la Régie des installations olympiques, M. Cédric Essiminy, nous a fait savoir qu’ils sont « bien logés et nourris, et ils pourront trouver un logement plus durable et voir leur situation se régulariser avec l’aide des services sociaux». Fait remarquable, c’est qu’ils ne sont pas exposés à la curiosité publique; il faut coûte que coûte passer par le service de communication pour s’enquérir de tout type d’information les concernant. Ils ne seront pas vus en masse par la presse à sensation. En attendant d’obtenir de plus amples informations auprès des personnalités, telles que Mme Emmanuelle Pacciullo, une des responsables du programme d’hébergement, ainsi que la ministre de l’Immigration, Mme Kathleen Weil, nous avons déjà l’assurance que les différentes demandes d’asile seront reçues avec tout le respect du à l’etre humain.

Mérès M. Weche

Sunday, December 11, 2016

Les deux côtés de la médaille du régime Castro


2016/12/09 | Par Louis Duclos
L’auteur est un ex-député fédéral de Montmorency-Orléans (1974-1984)

Il faut convenir que la déclaration du premier ministre Trudeau au lendemain de l’annonce du décès de Fidel Castro était plutôt maladroite. Autant il était pertinent de saluer les progrès considérables de la société cubaine, notamment au chapitre de l’éducation et des soins de santé, pendant son long règne, autant il est regrettable qu’il ait passé sous silence le caractère dictatorial de son régime et son bilan peu glorieux en matière de respect des droits fondamentaux de ses concitoyens.

Cela étant dit, il est impératif de rappeler que le régime Castro s’est toujours retrouvé en mode d’autodéfense en raison de la menace constante de son renversement résultant d’un coup d’État fomenté par la CIA. D’ailleurs, l’invasion ratée de la baie des Cochons en avril 1961 illustre bien la volonté de l’impérialisme américain de liquider Fidel Castro et son régime par la force militaire avec la complicité des éléments les plus rétrogrades de la société cubaine.

On lui aurait ainsi fait subir le même sort que celui qui avait été réservé au président réformiste du Guatemala, Jacob Arbenz, en 1954 et qui fut  aussi celui du président chilien, Salvador Allende, en 1973.

Dans ces conditions, il n’y a pas lieu de s’étonner que Fidel Castro ait été habité par un fort sentiment d’insécurité le portant à mettre à l’écart quiconque n’endossait pas aveuglément les diktats de son gouvernement. Il s’agit là de circonstances atténuantes qui ne rendent pas moins répréhensible la brutalité de son régime, mais qui, cependant, expliquent sans doute son comportement abusif à l’endroit des dissidents parmi ses concitoyens.

Cette controverse aura toutefois permis d’exposer au grand jour l’hypocrisie de la filière « trumpiste » canadienne qu’incarnent notamment les députés conservateurs Maxime Bernier et Gérard Deltell qui, après avoir accusé Justin Trudeau d’occulté le côté sombre du règne de Fidel Castro, ont eu recours au même procédé en fermant les yeux sur les importantes réformes réalisées par son gouvernement au bénéfice du peuple cubain.
Il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que Cuba constitue aujourd’hui un pays qui se distingue en raison du fort taux d’alphabétisation de sa population et aussi en raison de la qualité exceptionnelle de son système de soins de santé.

Ayant vécu quelques années en Amérique du sud au cours de la décennie 1960, je me souviens très bien de l’immense popularité dont jouissait Fidel Castro chez les moins bien nantis qui caressaient l’espoir que des chefs politiques de son calibre émergent dans leurs pays et entreprennent les réformes socio-économiques dont profitait déjà le peuple cubain, et ce, malgré l’étranglement de son économie par les politiques revanchardes de l’administration américaine.

Tout bien considéré, la question la plus pertinente que l’on puisse poser au sujet du bilan du régime Castro est la suivante: que serait Cuba aujourd’hui si ce pays n’avait pas connu la révolution castriste ? Il est plus que probable que Cuba serait une réplique de ce qu’il était sous le régime Batista des années 1950, c’est à dire que le peuple cubain serait encore peu scolarisé, que son système de santé serait toujours très rudimentaire, que la mendicité y serait encore fort répandue, qu’il serait comme autrefois le bordel des Américains et surtout que son peuple n’afficherait pas la dignité qu’on lui connait aujourd’hui.



Sunday, March 13, 2016

Le Canada lorgne Haïti pour son retour

Aide ou occupation?
Le Devoir affirmait mercredi qu’Ottawa étudiait l’idée de prendre le relais du Brésil à la tête de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH). Il y aurait, à notre avis, mieux à faire pour contribuer au développement d’Haïti que d’y envoyer en masse nos Casques bleus.

Ottawa n’a pas encore tranché, mais déciderait-il d’investir l’île de ses Casques bleus que nous jugerions l’initiative mal avisée. Le fait est que la MINUSTAH, créée dans la foulée du renversement de Jean-Bertrand Aristide en février 2004, est devenue avec le temps une force d’occupation ou, du moins, perçue comme telle par beaucoup d’Haïtiens. Ce qu’il serait extraordinaire d’entendre Justin Trudeau dire aujourd’hui, c’est que le Canada a commis une erreur grave en appuyant l’éviction d’Aristide par les États-Unis. On peut toujours rêver. Le renversement du gouvernement d’Aristide n’a pas rendu service au peuple haïtien ; il a servi les intérêts de l’oligarchie locale, des anciens militaires et des néoduvaliéristes.


Que des enjeux de sécurité se posent encore, c’est l’évidence. Que la classe politique haïtienne cafouille épouvantablement — au point qu’a été reporté deux fois le second tour de l’élection présidentielle sans qu’on sache très bien quand il pourra finalement se tenir — et que l’État haïtien soit complètement dysfonctionnel, on en convient. Mais il ne faudrait pas que ces réalités nationales fassent oublier les responsabilités des pays étrangers (États-Unis, Canada, France) dans cet état de déliquescence politique, sociale et économique.

Il n’est pas exagéré de dire qu’Haïti est aujourd’hui dans une situation pire, plus corrompue et plus antidémocratique, qu’elle ne l’était quand Aristide a été chassé du pouvoir. Vrai que s’est produit l’effrayant séisme de janvier 2010, qui a fait plus de 200 000 morts. Comment néanmoins expliquer que, malgré les gigantesques ressources dont disposent tous ses « amis » internationaux qui disent voler à son secours et vouloir accompagner son développement, la société haïtienne ait si peu réussi à sortir la tête de l’eau ? Comment expliquer que, selon des informations récemment publiées par le Programme alimentaire mondial (PAM), Haïti traverse actuellement sa plus grave crise d’insécurité alimentaire depuis 2001 ?

Une partie de l’explication tient en ceci : sous le couvert de l’aide — d’une aide diachylon, au final — s’est installée une tutelle internationale qui empêche le peuple haïtien d’influencer son développement et de faire ses propres choix. Les manipulations qui ont donné lieu à l’élection de Michel Martelly à la présidence en 2011 et le cul-de-sac électoral dans lequel se trouve maintenant le pays en sont des preuves politiques.

Mais c’est aussi une tutelle qui s’inscrit dans le prolongement de l’assujettissement où se trouve Haïti depuis son indépendance, arrachée aux Français il y a 210 ans. Jamais ne lui a été donné le droit de respirer librement sur le plan économique.

Premier ministre Justin Trudeau
Le gouvernement de Justin Trudeau, premier ministre soi-disant progressiste, pourrait faire oeuvre utile en contribuant, par exemple, à humaniser le marché du travail haïtien. Lire à y défendre les droits syndicaux. Prenez le cas de Gildan, multinationale du textile fondée à Montréal. L’entreprise sous-traite depuis 2009 sa production de t-shirts aux Apaid, une famille duvaliériste de Port-au-Prince qui a soutenu Baby Doc en son temps, qui s’est opposée à Aristide et dont le lobby contre toute hausse du salaire minimum est obstiné. Si bien que les travailleuses du textile en Haïti, payées 5,61 $ par jour, sont les plus mal rémunérées au monde, après celles du Bangladesh et du Cambodge.

On est à des années-lumière de faire du travail un bien commun et un outil de développement démocratique, se tue à répéter le philosophe Alain Deneault. C’est vrai partout dans le monde. Ça l’est particulièrement dans un pays comme Haïti.

A suivre ...



Tuesday, October 20, 2015

Canada : écrasante victoire des libéraux après une décennie conservatrice

Justin Trudeau, le nouveau
Premier ministre canadien
Justin Trudeau, le fils de l'ancien premier ministre Pierre Elliott Trudeau, a mené un parti libéral laminé jusqu'à la victoire, obtenant contre toute attente la majorité absolue au parlement. Stephen Harper, chef du gouvernement depuis dix ans, a reconnu sa défaite.

Une défaite écrasante et un plébiscite à l'héritier d'un ancien dirigeant du pays. Le premier ministre sortant du Canada, Stephen Harper, a présenté lundi soir sa démission de la direction du parti conservateur après la sévère défaite de sa formation face aux libéraux (centre-gauche) lors des élections législatives. Le Parti libéral de Justin Trudeau, qui formera le prochain gouvernement canadien, a remporté une victoire éclatante, mettant un terme à une décennie de pouvoir conservateur.


Justin Trudeau et sa femme Sophie Gre
goire lundi soir à l'annonce des résultats
Vers 23 heures, le parti libéral était assuré d'avoir la majorité absolue à la Chambre des communes. Les libéraux, troisième force au Parlement avant ces élections, sont crédités de 39,5% des voix sur la quasi-totalité des bulletins dépouillés. Le parti libéral obtient 184 sièges à la Chambre des communes, soit la majorité absoluedes 338 sièges. Les Conservateurs totalisent 99 sièges. D'après La Press, l'important écart entre les sondages (30% pour le Parti libéral) et les résultats ne sont sans doute pas uniquement le fruit d'une erreur d'appréciation, mais pourraient avoir stimulé le vote libéral au dernier moment.

Héritier de la «trudeaumanie»
Pierre Elliott Trudeau
La célébrité de son nom, il la doit en premier lieu à son père, Pierre Elliott Trudeau. Premier ministre de 1968 à 1979 puis de 1980 à 1984, ce partisan d'un État fort a signé quelques mesures marquantes pour le pays comme l'adoption d'une nouvelle Constitution, la Loi sur les langues officielles, l' abolition de la peine de mort ou la loi sur le divorce. Charismatique autant que controversé, il n'hésite pas à établir en pleine guerre froide des relations avec la Chine et Cuba, offrant même une aide canadienne à l'île communiste en plein embargo américain.

Né au cours du mandat de son père, Justin Trudeau a étudié la littérature anglaise et les sciences de l'éducation avant de devenir enseignant et de quitter la lumière des projecteurs pendant plusieurs années. Le jeune homme revient sur le devant de la scène en 2000, lorsqu'il émeut les Canadiens en prononçant l'éloge funèbre de son père, décédé deux ans tout juste après la disparition de son frère dans un accident de ski.

 Stephen Harper a reconnu sa défaite et félicité Justin Trudeau

Depuis son fief de Calgary, dans l'Ouest canadien, Stephen Harper a reconnu sa défaite et félicité Justin Trudeau d'avoir mené les libéraux à la victoire. «Nous avons élu un gouvernement libéral, c'est un résultat que j'accepte sans hésitation», a lancé le chef de gouvernement sortant, se targuant d'avoir «bâti un Canada plus fort que jamais» depuis son accession au pouvoir en 2006. «Je me suis entretenu avec M. Trudeau et lui ai présenté mes félicitations», a-t-il ajouté.
Stephen Harper n'a cependant pas évoqué son avenir personnel lors de son allocution, suscitant une certaine confusion parmi les commentateurs. Des membres de son parti ou toutefois précisé que le premier ministre sortant avait demandé que soit engagé le processus de sélection d'un nouveau chef de l'exécutif national, selon La Presse. Après une décennie à la tête du Canada, Stephen Harper devrait donc siéger au parlement en tant que simple député, abandonnant ses fonctions de chef de parti.


Nouvelle «trudeaumanie»

«Stephen Harper a servi ce pays depuis une décennie, et nous l'en remercions», a salué le futur nouveau premier ministre, Justin Trudeau. Réunis dans un grand hôtel montréalais, les partisans de Justin Trudeau ont laissé éclater leur joie à l'annonce des premières tendances par les télévisions. «Je serai le Premier ministre de tous les Canadiens», a lancé dans la nuit un Justin Trudeau souriant devant une foule de militants crieurs et exubérants.


Deux ans après avoir pris les rênes des libéraux, Justin Trudeau, 43 ans, a relevé un parti laminé aux dernières législatives, entaché par les scandales et les conflits d'intérêt. Rien ne laissait prévoir, au début d'une longue campagne de 78 jours, que Justin Trudeau, initialement troisième, s'imposerait avec une aisance et une assurance peu communes pour ses premiers débats télévisés, face à des adversaires rompus à l'exercice. «Justin, juste pas prêt», c'est en ces termes que les conservateurs l'infantilisaient en le moquant dans des publicités.

Justin Trudeau a patiemment mené sa campagne, débutée en août, en gardant une ligne claire, caressant la classe moyenne avec des promesses de baisse d'impôts en allant taxer les plus riches. Après avoir donné naissance à nouvelle "trudeaumanie", ces mots d'ordre qui vont lui permettre de retrouver, un peu plus de 30 ans après, la résidence du premier ministre à Ottawa où il a passé toute son enfance quand son père, Pierre Elliott Trudeau, dirigeant ayant marqué le Canada, en était le locataire.

Économie et réfugiés, deux sujets majeurs
L'économie, socle sur lequel le premier ministre sortant a voulu capitaliser, a finalement souri aux libéraux. Avec une récession sur les six premiers mois de l'année, en raison de la chute des prix du pétrole, Justin Trudeau a promis au prix de trois prochaines années en déficit budgétaire, de relancer l'activité avec un programme d'infrastructure et des emplois à la clé.

Autre moment important de la campagne, la crise des réfugiés en Méditerranée avec une offre immédiate des libéraux et des sociaux-démocrates d'accueillir les Syriens fuyant la guerre quand Stephen Harper défendait l'idée de combattre le mal à la racine, soit de poursuivre les frappes aériennes contre le groupe État islamique. La participation du Canada à la coalition internationale va se reposer, Justin Trudeau s'étant engagé à mettre fin aux frappes aériennes tout en restant dans un rôle d'assistance aux forces irakiennes et kurdes.

Justin Trudeau devra former dans les prochaines semaines un Conseil des ministres. Il s'est engagé dans son programme à nommer autant de femmes que d'hommes dans son premier cabinet. La Chambre des communes devrait reprendre ses travaux à la mi-novembre.

Sources : Le Figaro, AFP