Wednesday, July 9, 2014

C'EST QUOI CETTE FIEVRE BRESILIENNE ET ARGENTINE EN HAITI?

Par : Emmanuelle Gilles
Qu'est ce qui empêche aux Haïtiens de constituer une bonne équipe et d'investir 5 années d'entrainement avec un entraineur de poids, ainsi Haïti serait à la hauteur pour participer aux prochaines coupes du Monde. Il suffit d'identifier les joueurs doués avec des potentiels - je suis certaine qu'ils existent, comme les Sanon, Obas et Cator. On devrait pouvoir les identifier et investir au maximum pour former une excellente équipe. On n'est pas né champion, on met le coup de collier qu'il faut pour le devenir. C'est en forgeant qu'on devient forgeron.
C'est déconcertant de voir ce fanatisme exagéré pour des équipes étrangères qui sont vraisemblablement indifférentes envers Haïti. Au moins le Brésil aurait l’avantage de contribuer à travers une mission de paix même si elle est décriée. Sa contribution à Haïti dans le cadre de la reconstruction s’élève a 55 millions entièrement payés. Si on veut se solidariser avec le Brésil, à la rigueur, je pourrais le comprendre mais ces comportements hystériques qui vont jusqu’à engendrer des pertes humaines échappent a ma compréhension.
Logiquement, on ne se casse pas les bras pour une équipe étrangère avec laquelle nous n’avons aucun rapport. Quant à l’Argentine, c’est un pays ultra raciste qui a décime toutes les traces Africaines car il y a eu dans ce pays une population noire issue de la traite négrière. Il n’en reste de cette population que 10,000 noirs isolés et tout à fait invisibles ! Le racisme est intégré dans leur culture. Dans La littérature Argentine, on peut lire encore ces vers :
« Les blancs, c’est Dieu qui les fit, les mulâtres, saint Pierre, et les noirs, le diable comme tison de l’enfer. »

Quelle est alors la justification rationnelle de cet attachement à l’Argentine durant le « mondial »? La coupe du Monde est un vrai opium qui brouille les esprits, les sensations étant trop fortes pour se faire la raison. J’avoue que ma nature trop émotionnelle ne me permettrait de m’asseoir devant une télé à contempler cette raclée de l’Allemagne envers l’équipe brésilienne ou l’équipe perdante, Brésil ou pas. Je suis désolée pour eux mais non pas au point de hurler ou de pleurer. Je meurs plutôt l’envie de voir Haïti avec une équipe qui fera honneur a la patrie. J’espère tout de même que lorsque ce jour viendra, on ne criera plus vive le Brésil ou vive l’Argentine !!!

par :Emmanuelle Gilles

La défaite historique du Brésil face à l'Allemagne en demie finale de la coupe du monde


Les médias brésiliens étaient sous le choc mercredi matin suite à la défaite sans appel de l'équipe brésilienne face à l'Allemagne en demi-finale de la Coupe du monde organisée au Brésil.
Les Brésiliens se sont inclinés 7 à 1 mardi soir au Stade Mineirao de la ville de Belo Horizonte, ce qui constitue la pire défaite de la Seleçao en coupe du monde. La Mannschaft a littéralement terrassé son adversaire en inscrivant cinq buts en 18 minutes à des Auriverde totalement impuissants.
Dans la ville de Sao Paolo, des milliers de personnes sont descendues dans les rues, obligeant la police à employer Les gaz lacrymogènes. Des incendies ont été signalés dans plusieurs quartiers de la ville.
Sur son site internet, le journal brésilien Globo Esporte qualifie cette défaite de "honte totale". Le journal Folha de Sao Paulo titrait "humiliation historique", tandis que le quotidien Lance évoquait "la plus grande honte de l'histoire".
Certains médias ont d'ores et déjà nommé cette défaite "Mineiraço", en référence au  Maracanaço, une défaite historique face à l'Uruguay en 1950 au stade Maracana qui priva alors les Brésiliens d'une première victoire en Coupe du monde.
Après le cinquième but de l'Allemagne, inscrit par Sami Khedira à la 29ème minute du jeu, une bousculade s'est produite sur la plage de Copacabana de Rio-de-Janeiro, ou des dizaines de milliers de supporteurs étaient rassemblés pour suivre la diffusion du match en direct.
Selon les médias, au moins onze personnes ont été interpellées par la police à travers le pays.

La  seconde demi-finale opposera les sélections des Pays-Bas et de l'Argentine mercredi soir à Sao Paolo. Le vainqueur jouera le 13 juillet contre l'équipe d'Allemagne, et le perdant se mesurera la veille à la Seleçao pour la troisième place.

Monday, June 30, 2014

Spotlight on Miragoâne !

Miragoâne ! I remember...
French Version
Dr Adly Thebaud, Rahoul Dupervil, Dr.
Jean-Marie Breton ( Gauche vers droite)
The diaspora community native of Miragoâne, third port city of Haiti, located in the department of Nippes and the chief town of the district of Miragoâne offered a large agape in honor of this piece of land of Haiti, on Saturday, June 21, 2014 at the Drs Adly and Josette Thebaud residence at Heathrow Lake Mary, Florida. On the eve of the celebration  of Saint John the Baptist, the patron of the city Miragoâne, this gathering brought many miragoânais and miragoânaises from across the Haitian diaspora.

Bruny and Paule Compas 
The party began at 8 pm with words of welcome from the hosts Adly and Josette Thebaud, the engineer Bruny Compas and Max Jacques, the master of ceremony (MC). Following the invitation and encouragement of Bruny Compas, many participants traveled from Canada, Connecticut, North Carolina, New York and Haiti to participate in this joyous gathering which also represented a great opportunity to reunite in the sumptious residence of doctor Thébaud, who also originates from Miragoâne. This event was also made possible by Bruny Compas, who is well known as a unifying center of Florida, and also a founding member of HASO (Haitian American Society of Orlando). 

The Thebaud's family 
The party held at the magnificent residence of the Thébaud’s made ​a great impression in this gated community of Lake Mary surrounded by magnolias and tennis court. Therefore, it was an inviting atmosphere for relaxation and entertainment,  between friends and comrades scattered ove fourty and fifhty years, as pointed out by one of the guest speakers of the evening, Rahoul Dupervil.
The hearts and minds of this Haitian community nostalgic of their piece of land ignited throughout the evening.

Everything was on the edge of the pool area  well decored in this circumstance where a sumptuous banquet dishes were well chosen in honor of the guests in search of elegance and refinement. The Miragoânaises, elegant in their dress "bustier" fitting, flared, low-cut or backless blade were lovely, the miragoânais meanwhile were "sharp" in their fine suits and they danced happily with their ladies who seemed to be having ants in their legs in addition with the DJ Harry Duval, who’s retro tunes filled the ballroom and very much inviting everyone to dance. A true atmosphere of reunion and good vibes throughout the evening!
Stretching in length, the host of the party, Dr. Thébaud has then highlighted the main goal of this worldly activity; he took the opportunity to highlight the projects initiated by some citizens of the community Miragoâne. Photos and videos presented by Dr Ralph Gousse were reviving the memories of school, football and youth etc ...
Rahoul Dupervil has promised to make the grandest festival next year promising to bring more people from Miragoâne.

Informed observers could detect from the atmosphere a certain willingness among this diaspora community to unite their efforts to renovate their hometown. The celebration continued Sunday, June 22 with a barbecue (grill) at Bruny Compas’s House. 

These festivities was another proof of the love that the diaspora generally feeds in his heart for Haiti, a love scarcely recognized by some politicians who therefore do everything to exclude or discourage the diaspora with their retrograde actions or the actions taken step menus (lip service). A diaspora that yet thinks only to assist every corner  as Miragoâne Haiti.

Haiti Connection Network was represented by the young Hervey Gilbert Jr who did a great photojournalism in which we invite you to watch by clicking here...
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By Herve Gilbert herve.gilbert@gmail.com

Some segments of the atmosphere of the evening in Video

Friday, June 27, 2014

NOTE DE PRESSE DE L'UNDH

Lesly Manigat
Il est de ces personnalités à la dimesion desquelles on ne peut que se heurter chaque fois qu’on s’engage sur les sentiers de l’Histoire. Et de cette Histoire à laquelle les événements et les hommes se sont constamment heurtés, Leslie Manigat fut à la fois un témoin et un acteur. Il avait même donné aux plus jeunes une indéniable leçon tirée de la discipline dans laquelle il excellait le mieux, en soutenant par une action concrète les subtilités d’une pensée dogmatique un peu trop en avance sur son temps. Et c’est faute d’une éducation civique, entamée et poursuivie avec autant de compétence que d’efficacité, éducation, que, pourtant, il avait tenté de transmettre dans ses interventions télévisées, que son expérience de la “fulgurance louverturienne” n’avait pas su donner les résultats escomptés. L’écho de ses discours n’a donc point obtenu les bonnes grâces d’une population peu habituée à cet exercice hautement intellectualisé de la politique.

Aussi, en 1988, se voyait-il interpellé, sollicité par l’Histoire pour tenter d’infirmer la thèse du Duc de Saint Simon:’ Ecrire l’histoire de son pays et de son temps…c’est se montrer à soi-même pied à pied le néant du monde, de ses craintes, de ses désirs, de ses espérances, de ses disgrâces, de ses fortunes, de ses travaux…” Et nous savons pertinemment que la tâche n’était pas au-dessus des forces de l’homme de pensée et d’action qui voulut projeter sur l’écran national les séquences d’une épopée nouvelle dans laquelle il croyait.

D’Haïti, nous est parvenue la triste nouvelle du décès du Professeur Leslie Manigat au terme d’une maladie stoïquement supportée. Avec lui, s’en va un morceau d’humanité haïtienne qu’il sera difficile de reconstituer. Dans le champ clos des mots de regrets, l’amertume se presse au rendez-vous d’adieu à l’endroit d’un Homme qui fut plus qu’un “monument historique”. Et de plaintes en contritions, de soupirs en regrets, L’Union Nationale des Démocrates Haïtiens (UNDH) ne peut que partager la douleur de sa digne épouse, des parents, des amis, partisans et sympathisants auxquels elle offre ses paroles profondes pour les aider à traverser cette inévitable vallée de larmes.


Adieu Professeur, dors bien sur ta couche de poussière. Mais, n’oublie pas de veiller, du haut de ta mémoire immortelle, sur tous ceux qui, de loin ou de près, ont professé en ta compagnie, le culte des vertus hautement confisquées.

Miami, le 26 Juin 2014
Dr  Jean L. Théagène 
Président de L'UNDH



Wednesday, April 23, 2014

Moments de relaxation et de souvenance avec Radio Haiti Connexion chaque Jeudi.

Revivre vos chansons d'hier en ce Jeudi !


  


Revivre vos moments d'insouciances et de rêveries avec tous les troubadours de jadis. Voici  de quoi réveiller les meilleures souvenirs de votre jeunesse en ce «Jeudi Rétro» proposé par Radio Haïti Connexion. Notre esprit et aussi notre corps en ont bien besoin.

Radio Haiti Connexion ! Pour vous informer et pour vous distraire 24/24  














Thursday, April 17, 2014

Moments de relaxation et de souvenance avec Radio Haiti Connexion chaque Dimanche.


Pour des moments de méditation spirituelle et des moments d'insouciances et de rêveries avec tous les troubadours de jadis en cette période de fin d'année. Voici  de quoi réveiller les meilleures souvenirs de votre jeunesse en cette «ballade de chansons» proposée par Radio Haïti Connexion en ce dimanche . Notre esprit et aussi notre corps en ont bien besoin...




Radio Haiti Connexion ! Pour vous informer et pour vous distraire 24/24  


Saturday, April 5, 2014

Russie : Vladimir (Poutine) et Lioudmila, c'est fini !

Le président russe et son épouse ont officiellement divorcé, après trente-cinq ans de mariage.

Vladimir Poutine et son épouse Lioudmila, ici en 2003.
C'est officiel. Vladimir Poutine, 61 ans, et Lioudmila, 56 ans, ont divorcé après trente ans de mariage. Le couple avait annoncé sa décision en juin dernier devant les caméras de Rossia 24, à l'issue de la représentation du ballet "Esmeralda" de Cesare Pugni au Grand Palais du Kremlin. "Toute mon activité est liée à la vie publique. Il y a des gens avec lesquels c'est incompatible. Nous avons donc pris une décision commune", lâche le maître du Kremlin, plutôt détendu. "Vladimir Vladimirovitch est complètement plongé dans son travail. Nous ne nous voyons pratiquement pas", poursuit l'ex-première dame, mal à l'aise, à la recherche de ses mots. Ce soir-là, la nouvelle ne surprend personne. Vladimir et Lioudmila ont cessé leur vie commune depuis des années. On prête même à Poutine une liaison avec l'ancienne championne de gymnastique Alina Kabaeva, de 31 ans sa cadette et aujourd'hui mère de deux enfants dont le père demeure inconnu.

Poutine s'est rarement confié sur sa rencontre avec son ex-femme au début des années 80. "J'ai compris que si je ne me mariais pas au cours des deux ou trois prochaines années, je ne me marierais jamais", a-t-il dit un jour.

Les retards de Vladimir:

L'ancienne hôtesse de l'air Lioudmila s'est davantage épanchée sur son union avec le maître du pays. C'est à Oleg Blotski, l'un des biographes de Poutine, qu'elle livre le récit le plus détaillé. Elle raconte qu'un soir son futur mari lui demande de lui téléphoner à une heure précise. Elle se rend alors à plusieurs reprises dans une cabine téléphonique, mais Poutine ne répond pas. Soudain, un inconnu l'aborde et lui demande ses coordonnées. Elle l'ignore. Plus tard, en découvrant les activités de son cher Vladimir au sein du KGB, elle se remémore l'incident. "Je lui ai demandé s'il avait voulu me tester ce jour-là, mais il ne m'a jamais donné de réponse claire."

Lioudmila se souvient aussi des retards de Poutine à leurs rendez-vous. "Je n'étais jamais en retard, mais, lui, tout le temps. Au bout d'une heure, j'avais envie de pleurer. Au-delà d'une heure et demie, je ne ressentais plus rien." Elle raconte également une soirée au cours de laquelle elle avait dansé et bien ri. C'était avant leur mariage. "Vladimir m'a dit qu'il n'avait pas aimé mon comportement et que notre relation n'était plus possible."

"Tu connais mon caractère"

Il reviendra cependant vers elle. Et lui demandera sa main. "Mon amie, tu connais mon caractère, lui dit Poutine, il n'est pas facile. J'ai besoin de toi. Je te propose de devenir ma femme. Si tu es d'accord, nous nous marierons le 28 juillet." "J'ai toujours eu l'impression d'être mise à l'épreuve", poursuit Lioudmila. Exemple : les sorties à la montagne. "Il pensait que cela allait de soi que je fasse du ski, mais je n'ai jamais été préparée. Nous n'avions pas d'instructeur, pas de vêtements. Tout notre argent y passait. Nous n'en avions plus pour nous acheter un billet de théâtre."
Une autre fois, Poutine l'emmène sur les bords de la mer Noire. Lui se consacre à la plongée sous-marine. Elle se retrouve sur un matelas pneumatique mal gonflé et sachant à peine nager. "Il a fallu que je lutte contre le courant. Il fallait toujours que je lutte contre quelque chose." Lioudmila évoque aussi son voyage de noces après leur mariage célébré en juillet 1983. Une virée à Kiev au volant d'une Jigouli en compagnie d'un autre couple. "En vacances, il ne voulait jamais être le leader, il laissait les autres planifier les journées. Ça me surprenait." Cet été-là, la voiture tombe en panne et le voyage tourne court.
Deux ans plus tard naît leur première fille. Lioudmila veut l'appeler Natalia. "Trois jours avant la naissance, Vladimir m'a annoncé que ce serait Maria. J'ai pleuré", dit-elle. Poutine se tient éloigné de la vie de la famille. "En me voyant monter les six étages de l'immeuble avec ma fille dans les bras, notre voisin a dit un jour à Vladimir qu'il devait m'aider." Poutine, l'officier du KGB, bientôt nommé à Dresde en ex-RDA, ne pense qu'à une chose : son travail... Sur lequel il demeure muet. "Quand je l'interrogeais sur sa journée, il me répondait toujours par une boutade : on a attrapé un gars, on a déjeuné et on l'a relâché." Et le soir, à table, le futur chef du Kremlin ne se montre guère plus disert. "Je lui demandais : comment trouves-tu la viande ? Il répondait : pas mal. C'était un couteau dans le coeur. J'ai commencé à détester ce pas mal et la cuisine."
Source: Le Point