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Wednesday, July 27, 2016

Barack Obama passe le flambeau à Hillary Clinton à la convention démocrate

Obama considère Hillary comme la seule "qualifiée pour la présidence"
Le président américain Barack Obama s'est adressé aux délégués, réunis à Philadelphie pour la troisième soirée de la convention démocrate, afin de rallier les électeurs derrière Hillary Clinton, qu'il considère comme la seule « qualifiée pour la présidence ».

« Je peux dire en toute confiance que jamais un homme ou une femme n'a été aussi qualifié qu'Hillary Clinton pour la présidence des États-Unis d'Amérique », a affirmé Barack Obama après avoir vanté la carrière d'Hillary Clinton et son travail dans la vie politique fédérale. 

Président Barack Obama à la DNC
À l'avant-dernier jour de la convention démocrate, le 44e président américain a utilisé cette tribune pour faire valoir que le pays est prêt pour une femme présidente, et que cette femme est Hillary Clinton.

Accusant les républicains d'alimenter « la haine et la colère », le premier président afro-américain de l'histoire des États-Unis a dénoncé la vision sombre du pays promue par Donald Trump. À l'inverse, Barack Obama s'est dit « plus optimiste que jamais pour l'avenir de l'Amérique » et estime qu'Hillary Clinton est « la seule candidate de cette élection à croire en cet avenir. »

Le rêve américain n'est pas quelque chose qu'un mur peut arrêter.

À six mois de la fin de son mandat, Barack Obama a remercié les Américains pour leur confiance. Il les a appelés à rejeter « la peur et le cynisme » et à se joindre à lui afin de mener Hillary Clinton à la victoire.

Tim Kaine, colistier de Hillary Clinton
Plus tôt, les délégués réunis au Wells Fargo Center ont ratifié par acclamation le choix d'Hillary Clinton de prendre Tim Kaine comme colistier. Peu connu des Américains, le nouveau candidat démocrate à la vice-présidence a su faire bonne impression lors de sa première déclaration au côté d'Hillary Clinton, samedi dernier. Le sénateur de Virginie a accepté formellement sa nomination à la convention démocrate, avant le discours présidentiel.

Leon Panetta, ancien directeur de la CIA
Leon Panetta, ancien directeur de la CIA, n'a pas manqué lui non plus de vanter le travail de la candidate démocrate dans la lutte contre le terrorisme, soulignant le rôle qu'elle a joué dans le combat contre Al-Qaida. « Hillary Clinton est la seule à présenter un plan solide pour combattre [le groupe armé État islamique] et pour faire des États-Unis un lieu sûr », a-t-il déclaré.

À plusieurs reprises, les propos de l'ancien directeur de la CIA ont été recouverts par les huées de la foule, alors qu'il critiquait l'attitude de Donald Trump. M. Panetta a dénoncé la tendance du candidat républicain « à se ranger du côté de la Russie », faisant référence à la controverse des courriels internes du Parti démocrate révélés par WikiLeaks. 


Regardez l'intégralité du discours du président Barack Obama
 à la Convention nationale démocratique 2016

Dans la même lignée que le président Barack Obama, M. Panetta a conclu en déclarant qu'Hillary Clinton était la seule candidate réellement prête à prendre les rênes du pays.
L'actuel vice-président Joe Biden a pour sa part exprimé la confiance qu'il avait envers la candidate démocrate et son colistier. « Hillary Clinton est la seule personne à avoir toujours été là pour vous. Elle a toujours été là et le sera toujours. Tout comme Tim Kaine. »

Michael Bloomberg qualifie Donald Trump de
charlatan à la convention démocrate.                
Michael Bloomberg, ancien maire de New York, est à son tour venu donner son appui officiel à Hillary Clinton, en écorchant au passage le candidat républicain.

Je suis de New York, et les New-Yorkais savent reconnaître un escroc lorsqu'ils en voient un!

Républicain devenu indépendant, avant d'envisager de briguer lui-même la présidence américaine, M. Bloomberg devrait attirer les républicains plus modérés, frileux devant le controversé Donald Trump. C'est du moins ce qu'espère l'équipe de la candidate démocrate.

Lors de la dernière soirée de la convention, jeudi, Hillary Clinton acceptera formellement sa nomination en tant que candidate démocrate à la présidence.


Sources : Radio Canada / AGENCE FRANCE-PRESSE


À la Convention démocrate, le discours de Bill Clinton ne ressemblait à aucun autre

Dans un discours drôle et vivant, l'un de ses meilleurs, l'ex-président  Bill Clinton a décrit une Hillary généreuse et passionnée que l'Amérique ne connaissait pas. A elle de transformer l'essai.
Et pas seulement parce qu’il s’agissait du premier «First Man» potentiel.

«Au printemps 1971, j’ai rencontré une fille. La première fois que je l’ai vue, nous étions, et c’était approprié, dans une classe sur les droits politiques et civiques. Elle avait des cheveux blonds épais, de grandes lunettes, pas de maquillage, et une force et un sang-froid que je trouvais magnétiques.» C’est avec ces quelques mots que, mardi 26 juillet au soir lors de la Convention démocrate, à Philadelphie, Bill Clinton a démarré  son discours de soutien à sa femme Hillary , candidate officielle du parti pour la prochaine élection présidentielle américaine.

Pendant une quarantaine de minutes, l’ancien président des États-Unis dresse un portrait parfait de sa femme, qui a su endurer ses tromperies et qui mérite désormais d’occuper le siège qui a été le sien. «Hillary va nous rendre plus forts. Vous le savez parce qu’elle a passé sa vie à le faire. J’espère que vous allez l’élire.»

En apparence, ce discours au storytelling ciselé, peut paraître banal. Melania Trump a sensiblement fait le même la semaine précédente pour son mari. Mais, comme le souligne le Washington Post, ce discours ne ressemble en réalité à aucun autre. D’abord parce qu’Hillary Clinton est la première femme candidate à la présidentielle américaine, mais aussi à cause de sa fonction passée auprès de Bill Clinton:

«Un mari qui parle pour sur sa femme, cela a déjà été fait par le passé, écrit le journal. Un ancien président qui parle pour soutenir quelqu’un qui aimerait le devenir n’est pas nouveau non plus. Mais la combinaison des deux n’a pas de précédent. Un ancien président qui veut être “First Man” et qui vante les vertus d’une ancienne Première dame qui veut être présidente, il n’y a que les Clinton pour ça.»

S’effacer pour laisser toute la lumière à Hillary
Et le discours a aussi un sens particulier pour le couple lui-même. Alors que Bill a été discret pendant toute la campagne de la primaire, miné par des problèmes cardiaques, qui l’ont affaibli, et par le spectre de l’affaire Lewinsky qui ne le lâche pas, il a livré le discours qui, selon ses proches, avaient plus de sens que n’importe quel autre à ses yeux. Désormais, après les scandales et les polémiques qui ont émaillé sa propre présidence, c’est à lui d’être aux côtés de sa femme et de tout faire pour l’aider, coûte que coûte. Désormais, c’est à Hillary d’être sur le devant de la scène, et à Bill d’afficher un sourire constant:

«Il y a toujours une oscillation dans la relation entre les Clinton. Quand l’un est en haut, l’autre a tendance à être au plus bas, estime le Washington Post. Les opposants politiques qui pensent qu’ils peuvent affaiblir Hillary en rappelant les tendances libertines de Bill devraient savoir que sa popularité a constamment grimpé quand elle se met dans le rôle de la victime.»
Preuve ultime que le discours du mari de la candidate restera dans les annales, une petite anaphore utilisée en fin de discours. À plusieurs reprises, il a utilisé l’expression «the real one» («la vraie») pour désigner sa femme et la mettre un peu plus en valeur et balayer les opposants qui l’accuse d’être fausse. «La vraie vous appelle quand vous êtes malade, quand votre enfant a des problèmes ou quand il y a un décès dans votre famille.» Sur Twitter, souligne le site WIRED, le hashtag #TheRealOne s’est vite hissé en haut des conversations grâce aux soutiens d’Hillary, qui tentent depuis longtemps de prouver l’authenticité de la candidate. «Pas mal pour un président qui est arrivé au pouvoir quand les hashtags étaient encore appelés dièse, conclut le site. Pas mal non plus pour le mari d’une candidate. Ah oui et je suppose que le costume était pas mal aussi.»

Source de référence : Slate

Le discours de Bill Clinton  au Congrès national démocratique (DNC) 
 le  26 Juillet, 2016 à Philadelphie.

Thursday, July 21, 2016

Trump dit représenter la loi et l'ordre lors de son discours d'acceptation à la convention républicaine

Donald Trump lors de son discours d'acceptation à la convention républicaine
le jeudi 21 juillet 2016 .                                                                                   
Dans le cadre de son discours d’acceptation à la convention républicaine jeudi soir, le candidat républicain Donald Trump s’est présenté ouvertement comme le «candidat de la loi et l’ordre», tout en disant représenter la «générosité et la chaleur».

M. Trump a prononcé en fin de soirée son premier discours officiel en tant que candidat — une longue allocution qui a duré plus de 75 minutes, dans laquelle il n’a toutefois pas laissé place à beaucoup d’improvisation. Il semble avoir lu presque mot pour mot un brouillon du discours qui avait été publié plus tôt sur le site internet de nouvelles Politico.

Le candidat des républicains a martelé pendant plusieurs minutes qu’il allait rétablir la loi et l’ordre s’il était élu à la tête du pays en novembre prochain.

«Je serai le candidat de la loi et l’ordre», a-t-il assuré, rappelant les nombreux drames survenus en sol américain depuis quelques semaines, dont la tuerie contre des policiers à Dallas.
«Une attaque contre les policiers est une attaque contre tous les Américains», a-t-il déclaré.
M. Trump a aussi promis de défendre la communauté LGBTQ «de la violence et de l’oppression des idéologies étrangères haineuses» dans la foulée de l’attaque dans une boîte de nuit gaie à Orlando, en Floride. Le candidat s’est d’ailleurs dit heureux de se faire applaudir pour cette promesse.

Donald Trump lors de son allocution qui a duré plus de
75 minutes.                                                                                  
Adoptant un ton plus dur, M. Trump a réitéré son intention de construire un mur entre le Mexique et les États-Unis afin de diminuer la criminalité et d’appliquer les lois telles qu’elles sont.
«Le 21 janvier 2017, le jour où je prêterai serment, les Américains se réveilleront enfin dans un pays où les lois des États-Unis seront appliquées. Nous serons compréhensifs et compatissants avec tout le monde. Mais ma plus grande compassion sera pour nos propres citoyens qui sont en difficulté», a-t-il affirmé.

Donald Trump s’est également fermement engagé à s’attaquer au groupe armé État islamique, «qui n’existait pas» avant que la démocrate Hillary Clinton devienne secrétaire d’État, a-t-il dit.

M.Trump a aussi écorché au passage le président Barack Obama, qui a échoué sur plusieurs fronts, dont l’éducation et la criminalité, selon lui.

«Je n’ai pas de patience quant à l’injustice, je n’ai pas de tolérance quant à l’incompétence du gouvernement et je n’ai pas de sympathie pour les dirigeants qui déçoivent leurs citoyens», a-t-il lancé.

Donald Trump a également dépeint un portrait peu flatteur de sa rivale, la candidate probable du Parti démocrate, Hillary Clinton. Le bilan de l’ex-secrétaire d’État est marqué par «la mort, la destruction et la faiblesse», a-t-il lancé.

«Quand une secrétaire d’État range ses courriels sur un serveur privé, supprime 33 000 d’entre eux pour que les autorités ne voient pas son crime, met notre pays à risque, ment sur le sujet et ne fait face à aucune conséquence, je sais que la corruption a atteint des niveaux jamais atteints auparavant», a-t-il déclaré devant ses partisans.

Il a d’ailleurs tendu à main aux électeurs de l’ancien rival de Mme Clinton, Bernie Sanders. «Ses militants se joindront à notre mouvement, parce que nous nous règlerons l’un de ses plus grands problèmes: le commerce», a-t-il indiqué.

«Rappelez-vous, c’est Bill Clinton qui a signé l’ALÉNA, l’un des pires accords économiques jamais conclus par notre pays. Jamais plus», a-t-il tranché.

Quelques minutes plus tôt, la fille de Donald Trump, Ivanka, avait vigoureusement défendu la réputation de son père, «qui est célèbre, sans être vraiment connu», a-t-elle souligné.

Mme Trump a assuré qu’il a la «force et l’habileté», ainsi que «la générosité et la compassion» nécessaires pour devenir président des États-Unis.

Elle a également affirmé que son père était «aveugle sur la couleur de la peau» et «neutre sur le sexe», rejetant les accusations de racisme et de sexisme qui ont fait surface pendant la campagne.
Beaucoup de pression reposait sur les épaules de M. Trump, jeudi, alors que son parti s’est montré fortement divisé dans les derniers jours.

Avant le discours de leur candidat, plusieurs républicains de renom ont d’ailleurs lancé un message d’unité à leurs partisans.

Le président du Comité national républicain, Reince Priebus, a assuré que le Parti républicain était le «parti des nouvelles idées» et le «parti de la base (militante)». «Restons unis en tant que républicains, arrêtons Hillary Clinton», a déclaré M. Priebus sous un tonnerre d’applaudissements.
Une convention qui a mal commencé

Le candidat Donald Trump devait mener à bien une convention qui a bien mal commencé pour le Parti républicain, selon le chercheur Rafael Jacob de la Chaire Raoul-Dandurand.

Donald Trump entouré de sa famille à la fin de son discours
Dès le début, des discours ont été chahutés par des participants anti-Trump. La même soirée, la femme de Donald Trump, Melania, s’adressait aux partisans en lisant un texte dont certains extraits étaient tirés directement d’un discours de l’actuelle première dame, Michelle Obama. Et selon Rafael Jacob, le discours de Mme Trump lui-même était «mauvais, mal livré et mal écrit».
Pour couronner le tout, mercredi, la soirée qui devait être celle de Mike Pence, le colistier de Donald Trump, a finalement été celle du candidat déchu, Ted Cruz. Le sénateur du Texas a offert un discours enflammé, mais il n’a pas appuyé officiellement son ancien rival, au grand dam des partisans réunis à Cleveland.

Ainsi, Donald Trump devait réparer les pots cassés de la convention et de la course aux primaires, dans laquelle il s’est montré très agressif — on en voit les conséquences avec l’absence du clan Bush et le comportement de M. Cruz.

«L’électeur que les républicains essaient de rejoindre, est-ce qu’il va retenir les attaques contre Hillary Clinton qui, dans certains cas, peuvent être efficaces? Ou est-ce qu’il va retenir la controverse autour du plagiat, du discours de Cruz?», a expliqué M. Jacob.

En ce moment, Donald Trump se retrouve presque au coude-à-coude dans les sondages avec la probable candidate démocrate, Hillary Clinton. «Si le parti sort de là unifié, il a de très bonnes chances de gagner», a-t-il indiqué.
Risque d’implosion

En revanche, si la soirée se termine mal, la campagne de Donald Trump pourrait être en sérieuse difficulté, a prédit le chercheur.

Si plusieurs élus commencent à avoir peur pour leur propre campagne, ils pourraient adopter la même stratégie que les républicains en 1996. Bob Dole était alors un candidat très impopulaire qui se présentait contre le président démocrate Bill Clinton.

«Ils ont largué publiquement Bob Dole. Ils ont dit aux électeurs: « On comprend que Bill Clinton va gagner, mais si au moins vous voulez vous assurer du fait que le pouvoir à Washington ne soit pas entre les mains d’un seul parti, votez pour nous au Congrès »», a rappelé M. Jacob.
«Si c’est ça qui arrive avec M. Trump, la campagne implose, c’est aussi simple que ça», a-t-il conclu.

Source : Metro

Tuesday, March 1, 2016

Clinton et Trump, grands gagnants du super mardi


En route vers la présidentielle américaine

Hillary Clinton et Donald Trump
Hillary Clinton et Donald Trump  Photo :  Reuters / Jonathan Ernst et Charlie Neibergall

Les deux favoris dans la course pour remplacer Barack Obama à la Maison-Blanche ont fait plusieurs gains mardi, alors qu'une douzaine d'élections primaires et de caucus étaient organisés aux États-Unis. La démocrate Hillary Clinton a remporté sept États, tout comme le républicain Donald Trump.
Le Texas, l'État le plus important en ce super mardi, a cependant échappé aux mains du controversé milliardaire. Le sénateur Ted Cruz a remporté le populeux État, ainsi que l'Oklahoma. Les militants républicains du Minnesota ont quant à eux préféré Marco Rubio.
Du côté démocrate, c'est Hillary Clinton qui a remporté le Texas. Son opposant Bernie Sanders a bien fait malgré tout grâce à des victoires au Vermont, où il est sénateur, ainsi qu'au Colorado, au Minnesota et en Oklahoma.
Vous vous demandez ce que signifient les termes caucus ou élection primaire? Consultez notre ABC de la politique américaine. Et pour savoir les dates à retenir durant l'élection présidentielle, c'est par ici.
UNIFIER LE PARTI RÉPUBLICAIN

Donald Trump  Photo :  Reuters / Scott Audette


Fort de ses victoires, Donald Trump a voulu se présenter en rassembleur lors d'une allocution aux allures de discours de victoire, à Palm Beach, en Floride. « Ce soir, nous commençons à rassembler le Parti républicain pour que nous soyons prêts en novembre », a-t-il dit. « Lorsque tout ceci sera terminé, je vais m'occuper d'une seule personne :Hillary Clinton ».
« Je suis un rassembleur. Je sais que les gens vont avoir du mal à le croire. »— Donald Trump
Peu de temps après ce discours, Ted Cruz, vainqueur au Texas, a soutenu être le seul à pouvoir battre Donald Trump. Le sénateur s'en est pris vigoureusement au milliardaire, appelant les autres candidats à se joindre à lui. Choisir Donald Trump comme candidat républicain serait une catastrophe à son avis.


« La seule façon de défaire Donald Trump est de vous unir à moi. »— Ted Cruz
Il reste cinq candidats dans la course à l'investiture républicaine.

RÉSULTATS CHEZ LES RÉPUBLICAINS

Donald Trump
  • Alabama
  • Arkansas
  • Georgie
  • Massachusetts
  • Tennessee
  • Vermont
  • Virginie


Ted Cruz
  • Oklahoma
  • Texas


Marco Rubio
  • Minnesota


À déterminer
  • Alaska

HILLARY CLINTON CREUSE SON AVANCE

Hillary Clinton
Hillary Clinton  Photo :  Reuters / Javier Galeano

L'ex-secrétaire d'État a solidifié son avance dans la course à l'investiture démocrate. Lors de son discours, elle a promis de poursuivre le travail amorcé par le président Obama afin d'améliorer les conditions de vie des Américains. « Ce pays nous appartient tous. Les États-Unis prospèrent quand nous prospérons tous », a-t-elle lancé devant ses partisans.

De son côté, le sénateur du Vermont, Bernie Sanders, ne semble pas vouloir abandonner la course malgré ses résultats.

RÉSULTATS CHEZ LES DÉMOCRATES

Hillary Clinton

  • Alabama
  • Arkansas
  • Georgie
  • Massachusetts
  • Tennessee
  • Texas
  • Virginie


Bernie Sanders

  • Colorado
  • Minnesota
  • Oklahoma
  • Vermont

Aux États-Unis, le super mardi est une journée cruciale pour les aspirants candidats à l'élection présidentielle américaine. La victoire n'est pas garantie pour celui ou celle qui gagne le plus grand nombre de délégués. Mais, il est difficile de remporter l'investiture de son parti sans y faire d'importants gains.

Nombre de délégués en jeu lors du super mardi


  • Démocrates : 865 sur les 4763 qui choisiront le candidat
  • Républicains : 595 sur les 2472 qui choisiront le candidat

Source:Radio-Canada avec La Presse Canadienne et Agence France-Presse