Friday, October 9, 2020

Coup de filet autour d'une milice liée au projet d'enlèvement d'une gouverneure démocrate

Gretchen Whitmer,Governor of Michigan

Ils sont accusés d'avoir conspiré pendant des mois pour enlever la gouverneure démocrate du Michigan Gretchen Whitmer, une farouche opposante à Donald Trump, et attaquer des institutions. Treize hommes liés à un groupe américain d'extrême droite ont été inculpés après que le FBI a déjoué leur complot grâce à des informateurs et des agents infiltrés.

Six des conspirateurs, considérés comme des «extrémistes violents» par le procureur du district Ouest du Michigan, Andrew Birge, avaient prévu de kidnapper Mme Whitmer avant l'élection présidentielle du 3 novembre puis de la juger pour «trahison», selon l'acte d'accusation rendu public jeudi.

Sept autres hommes associés au groupuscule local «Wolverine Watchmen» ont également été arrêtés et inculpés pour avoir planifié «une opération en vue d'attaquer le bâtiment du Capitole et kidnapper des responsables du gouvernement, dont la gouverneure», a ajouté la ministre de la Justice du Michigan, Dana Nessel.

La gouverneure s'est dite effarée par la nouvelle.

«Quand j'ai prêté serment il y a 22 mois, je savais que ce travail pouvait être difficile. Mais pour être honnête, je n'avais jamais imaginé une chose pareille», a réagi Gretchen Whitmer lors d'une conférence de presse.

Et elle a accusé le président Donald Trump de «légitimer» les actions des «terroristes de l'intérieur» en refusant notamment de condamner les partisans du suprémacisme blanc la semaine dernière, lors de son débat face au candidat démocrate Joe Biden.

L'enquête a débuté au début de l'année quand la police fédérale «a appris sur les réseaux sociaux qu'un groupe d'individus parlait de renverser par la violence certaines composantes du gouvernement et des forces de l'ordre», selon l'acte d'accusation.

Les six accusés, qui ont été arrêtés, reprochaient notamment à la gouverneure d'être un «tyran» et d'exercer «un pouvoir sans contrôle».

Ils sont accusés d'avoir conspiré pendant des mois pour enlever la gouverneure démocrate du Michigan Gretchen Whitmer, une farouche opposante à Donald Trump, et attaquer des institutions. Treize hommes liés à un groupe américain d'extrême droite ont été inculpés après que le FBI a déjoué leur complot grâce à des informateurs et des agents infiltrés.

Six des conspirateurs, considérés comme des «extrémistes violents» par le procureur du district Ouest du Michigan, Andrew Birge, avaient prévu de kidnapper Mme Whitmer avant l'élection présidentielle du 3 novembre puis de la juger pour «trahison», selon l'acte d'accusation rendu public jeudi.

Sept autres hommes associés au groupuscule local «Wolverine Watchmen» ont également été arrêtés et inculpés pour avoir planifié «une opération en vue d'attaquer le bâtiment du Capitole et kidnapper des responsables du gouvernement, dont la gouverneure», a ajouté la ministre de la Justice du Michigan, Dana Nessel.

Ces miliciens ont également «proféré des menaces de violences pour provoquer une guerre civile», a expliqué Mme Nessel.

La gouverneure s'est dite effarée par la nouvelle.

«Quand j'ai prêté serment il y a 22 mois, je savais que ce travail pouvait être difficile. Mais pour être honnête, je n'avais jamais imaginé une chose pareille», a réagi Gretchen Whitmer lors d'une conférence de presse.

Et elle a accusé le président Donald Trump de «légitimer» les actions des «terroristes de l'intérieur» en refusant notamment de condamner les partisans du suprémacisme blanc la semaine dernière, lors de son débat face au candidat démocrate Joe Biden.

L'enquête a débuté au début de l'année quand la police fédérale «a appris sur les réseaux sociaux qu'un groupe d'individus parlait de renverser par la violence certaines composantes du gouvernement et des forces de l'ordre», selon l'acte d'accusation.

Les six accusés, qui ont été arrêtés, reprochaient notamment à la gouverneure d'être un «tyran» et d'exercer «un pouvoir sans contrôle».

Car Mme Whitmer avait décrété à la mi-mars des restrictions parmi les plus sévères du pays pour freiner l'épidémie de coronavirus dans son état du nord des États-Unis, à l'époque l'un des plus touchés par le Covid-19.

Elle est alors devenue la cible régulière d'attaques de M. Trump, qui avait dans un tweet appelé à «libérer le Michigan».

Ils sont accusés d'avoir conspiré pendant des mois pour enlever la gouverneure démocrate du Michigan Gretchen Whitmer, une farouche opposante à Donald Trump, et attaquer des institutions. Treize hommes liés à un groupe américain d'extrême droite ont été inculpés après que le FBI a déjoué leur complot grâce à des informateurs et des agents infiltrés.

Six des conspirateurs, considérés comme des «extrémistes violents» par le procureur du district Ouest du Michigan, Andrew Birge, avaient prévu de kidnapper Mme Whitmer avant l'élection présidentielle du 3 novembre puis de la juger pour «trahison», selon l'acte d'accusation rendu public jeudi.

Ces miliciens ont également «proféré des menaces de violences pour provoquer une guerre civile», a expliqué Mme Nessel.

La gouverneure s'est dite effarée par la nouvelle.

«Quand j'ai prêté serment il y a 22 mois, je savais que ce travail pouvait être difficile. Mais pour être honnête, je n'avais jamais imaginé une chose pareille», a réagi Gretchen Whitmer lors d'une conférence de presse.

Et elle a accusé le président Donald Trump de «légitimer» les actions des «terroristes de l'intérieur» en refusant notamment de condamner les partisans du suprémacisme blanc la semaine dernière, lors de son débat face au candidat démocrate Joe Biden.

L'enquête a débuté au début de l'année quand la police fédérale «a appris sur les réseaux sociaux qu'un groupe d'individus parlait de renverser par la violence certaines composantes du gouvernement et des forces de l'ordre», selon l'acte d'accusation.

Les six accusés, qui ont été arrêtés, reprochaient notamment à la gouverneure d'être un «tyran» et d'exercer «un pouvoir sans contrôle».

Car Mme Whitmer avait décrété à la mi-mars des restrictions parmi les plus sévères du pays pour freiner l'épidémie de coronavirus dans son état du nord des États-Unis, à l'époque l'un des plus touchés par le Covid-19.

Elle est alors devenue la cible régulière d'attaques de M. Trump, qui avait dans un tweet appelé à «libérer le Michigan».

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