![]() |
Stephanie Grisham, who never held a single press briefing in the White House stepped down Tuesday. |
This magazine delivers in-depth coverage of Haiti, Caribbean and global affairs, as well as science and political developments. As an extension of Haïti Connexion Culture, it embraces a multilingual, transcultural, and trans-Caribbean perspective. Multilingual and Transcaraibbean.
Tuesday, April 7, 2020
Trump’s press secretary Stephanie Grisham steps down: White House
UK Prince Harry says Trump is one of the 'sick people' running the world
![]() |
Britain’s Prince Harry has blasted US President Donald Trump during a hoax call from prankster ... |
Friday, March 13, 2020
Trudeau says government will warn against international travel and tighten border to stop spread of COVID-19
Prime minister's wife, Sophie Grégoire Trudeau, has tested positive for coronavirus
Prime Minister Justin Trudeau says the federal government will warn Canadians against all international travel and is considering tightening the border to some international travellers.
During an interview with Radio-Canada's Montreal morning show on Friday, Trudeau said the government is not closing the door to any idea and is assessing the situation on a day-to-day basis.
Asked if the government will close the Canadian border, Trudeau said: "We are in the midst of looking at this."
"We're in the midst of evaluating day-to-day what to do," he said.
"As you've seen, there are recommendations not to travel outside of Canada. We're in the midst of co-ordinating with the Americans, obviously, on our borders, on our actions. We'll continue to evaluate what we can do and how we can keep Canadians in security and we won't close the door on any idea."
Federal ministers and health officials are providing an update on Canada's response at 11:30 a.m. ET. CBCNews.ca is carrying it live.
U.S. President Donald Trump announced Wednesday evening that the U.S. was banning travellers from most parts of Europe, the same day the World Health Organization declared the global outbreak a pandemic.
The State Department also issued a global health advisory cautioning U.S. citizens to "reconsider travel abroad" due to COVID-19.
There are now 160 presumed or confirmed cases of COVID-19 in Canada. Trudeau is in self-isolation at home because his wife, Sophie, has tested positive.
Trudeau also said the government is looking at a set of common national guidelines to limit the spread of the coronavirus across the country.
On CBC Radio's The Current, Trudeau said the government will make a recommendation to Canadians not to travel internationally right now. An announcement on that will likely come later today, he said.
Trudeau said the government is also considering income-support measures to ensure people aren't worried about money when concerned about their own health and the health of their loved ones.
"We're going to be putting in place measures to support people to make sure that they can make ends meet, that they can focus on their families while we're going through a very difficult time economically," he told host Matt Galloway.
Canada's Chief Public Health Officer Theresa Tam confirmed that Canada is now advising against all international travel to limit the spread of the virus. She warned that travellers could be subject to another country's travel or quarantine restrictions, and if they become sick, could be in a health care system that is inferior to Canada's system.
On the border, Trudeau said steps that have been taken to date have "worked quite well" in limiting the number of cases; additional measures may now be required.
Sunday, October 6, 2019
Friday, September 20, 2019
Haïti : les enjeux de la sortie de crise
Par:Louis Naud Pierre, Ph.D.
Haïti vit actuellement la plus grande crise de son histoire. Pour la surmonter, des propositions se multiplient. Leur point commun est l’établissement d’un lien de cause à effet entre : la défaillance personnelle des tenants du pouvoir actuels et le dysfonctionnement des institutions publiques, produisant la crise. La solution proposée est le départ de ces derniers et l’organisation d’une Conférence nationale. Le reste est un ensemble de formules qui se retrouvent déjà dans les divers documents-cadres de développement d’Haïti adoptés par l’État.
L’idée qui sera développée ici est la suivante : la crise actuelle est une crise de l’intégration et de la régulation de la société dont la structure de base, la Fanmi, se désorganise (Vieux S. H., 2007). Cette désorganisation consiste en une perte d’influence des valeurs et des règles du droit coutumier sur les attitudes des individus qui cherchent satisfaction à leurs désirs de biens rares que sont l’argent, le pouvoir et la gloire dans un monde de compétition sans foi ni loi autre que celle du plus fort et du plus impitoyable. Les institutions – comme l’école, l’entreprise, la religion et l’État, avec son cadre constitutionnel et légal – destinées à intégrer les individus dans ce monde et à y réguler leurs rapports, ont été détournées de leur fonction. Elles ont été transformées par une élite néo-esclavagiste et cupide en ressources pour aliéner, puis exploiter une population totalement zombifiée. La prégnance de l’esprit d’hostilité empêche les individus – qui souffrent de l’enfer inhérent à cette crise – de s’engager dans une discussion éthique en vue d’articuler les valeurs et les règles du droit coutumier avec celles du cadre constitutionnel et légal étatique et de se les approprier.
Louis Naud Pierre, Ph.D.
Sociologue/IDES.
Thursday, August 1, 2019
Les Réflexions de Père Jean-Miguel Auguste sur l'Avenir d'Haïti.
![]() |
Père Jean-Miguel Auguste |
Monday, May 20, 2019
18 mai 2019 : la Maîresse de l'Arcahaie vole la vedette au président Jovenel
18 mai 2019. La Maîresse de l'Arcahaie vole la vedette à un président inexpressif, noyé dans l'illégalité et la corruption.
Par Jean Willer Marius.
La nouvelle a couru comme un éclair sur les réseaux sociaux, la Maîresse de l’Arcahaie vient de clouer, au sol dessalinnien, le bec mensonger de tijov. C'est un discours à entendre même si le verbe, on le comprend, est massacrant.
Couronnée de syntagmes anaphoriques, cette plume exercée, issue du verve philosophique arcahéen, qu'elle soit de Montréal, de robert ou d’ailleurs a su attirer la sympathie des critiques les plus acerbes. Noblesse oblige!
Difficile de ne pas remarquer l'élan d'un Pradel Pompilus et le courage d'une Sanite Bélair dans cette nouvele déclaration d'indépendance signée Rosemila Sainvil Petit-frère.
Sans ce discours, modéle aristidien de la Mairesse, la fête du drapeau aurait manqué d'aplomb. Elle a su charrier sur ses larges épaules les revendications de toute une nation en proie à la dictature instaurée en Haiti par des voleurs arrogants du bonheur d'un peuple acculé et sans défense. Sans s'inquiéter, comme à son habitude, des retombées ou représailles possibles du pouvoir, tenant compte des pratiques duvaliéristes en vigueur. Rosemila n'a pas passé par quatre chemins pour réclamer le dû de toute une jeunesse et indexer des voleurs éhontés qui tiennent le pays en hotage à tous les niveaux de l'administration publique.
Du palais à la primature en passant par le parlement, les voleurs sont partout et leurs dérives connues et dénoncées ne semblent toujours pas attirer l'attention de leurs protecteurs en haut lieu.
L'arrestation de l'assassin de Jacques Dubois au café trio du cap, un an de cela, représentant direct du président et la révocation quasi instantanée du commissaire en charge, refusant une libération hors des coudées franches des lois supposées rétablir l'équilibre sociétal, prouvent clairement dans quelle direction cette équipe veut entrainer les survivants de ce septennat rose expiré.
De Jackson à Willer, victimes non silencieuses des déboires d'un jovenel replongé en brutalité policière et prisonniers politiques, la République a maintes et maintes fois souffert de l’avide cruauté de ceux-là qui sont sensés améliorer son sort.
À la police nationale qui empêche au peuple de manifester librement et changer son lendemain.
À l'opposition qui, par ses magouilles avec les crésus du phkk est incapable sinon de renverser ce gouvernement despote du moins l'isoler.
À Pp dumont qui fait toujours abstention devant les revendications vitales d'un peuple qui a appris à aimer en lui cet intellectuel pur et ce chroniqueur sportif inégalable, et qui a osé le compter du nombre de ses alliés.
Au groupe des quatre sénateurs pour le combat mené contre la violation systématique de toutes les valeurs républicaines qui avaient fait de nous un état fier avant l'avènement de cette étrange classe de politiciens gargantuesques.
À Rosemila qui a pris son courage à deux mains pour nous rappeler que le petroprocès doit se tenir.
À radio zénith pour cette bataille difficile et exagérément menée.
À ce lecteur avisé qui fera en sorte que notre drapeau piétiné, notre gourde dévaluée, notre honneur disparu renaissent en chassant, bandits légaux et consorts de l'arêne politique haitienne.
Au pénitentiencier national où cet espace sera aménagé pour recevoir les membres du gang galil.
À cette frange de la presse de luxe qui nous fait comprendre que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles alors que les gens meurent de faim, les jeunes qui refusent de se prostituer sont voués à une mendicité dégradante.
Nous disons merci!
Haiti renaitra.
Non de code liberté.